C’est alors que qu’interviennent les anges, incarnés avec lyrisme par les enfants de Schiltigheim et de Colmar qui lui insuffleront de leurs voix angéliques l’Espoir.
Enfin, les 70 voix présentes sur scène se réunissent pour livrer un magnifique final dont la force est proportionnelle à l’Espoir retrouvé de Job qui voit ses malheurs réhabilités par la puissance divine.
Il est difficile de ne pas penser à la situation sociale actuellement tendue de notre pays ou le contexte géopolitique international angoissant. L’Espérance de Job, par son lyrisme, nous emporte et nous rappelle que, malgré les difficultés que nous pouvons rencontrer dans notre vie, la foi en de jours meilleurs est plus forte que tout, qu’après l’hiver arrive forcément le printemps.