Lorsque les 300 voix se rassemblent sur la scène, on comprend que le bouquet final approche.
Et quel bouquet final ! Jubilate Deo
de Cristi Cary Miller, Cantique de Racine
de Gabriel Fauré, Autant de chants... Les hymnes Pueri Omnes
de Marc Henric
ou La prière du petit chanteur
de Patrick Giraud. Les 300 voix rassemblées remplissent la salle de leurs voix puissantes.
Soudain, le silence inonde la scène. Les choristes commencent à se frotter les mains, à claquer des doigts, puis à se taper les jambes de plus en plus fort. Soudain, ils se mettent à sauter de manière chaotique, accompagnés d'éclairs de lumière. C'est l'orage que les 300 choristes nous "chantent" de leurs corps. Le public est épaté.
Le climat s'apaise et une note de musique retentit. Il s'agit de l'introduction du chant africain Ahuna. Une musique explosive et entraînante envahit alors la salle. Le rythme est tel que le public s'est naturellement mis à battre la mesure pour accompagner ce bouquet final qui s'est terminé sur un tonnerre d'applaudissement et une ovation du public.